Tirées d'un film, d'une traduction foireuse, d'une bd, n'importe quoi.
"Je ne suis pas généticien, mais ça ressemble à de l'ADN de dinde."
"Alors ma poule, on a la moule qui coule ?"
"Eh... On se regarde jamais proche, en fait..."
"Plus les choses changent et plus elles restent les mêmes."
"Et le bouc y sert à quoi ?
- A mettre dans les ronds blancs !
- Et les ronds blancs ?
- A mettre le bouc dedans."
"Il faut les amener à l'hopital !
- Qu'est-ce que c'est docteurrr ?
- Un grand batiment avec plein de gens en blouse blanche !"
"Mais comment va-t-on s'y prendre pour retropuver son âge ?
- C'est simple, elle mesure 1m70 environ. On prend un bout de ce bloc de glace, on calcule le temps qu'il met à fondre dans un micro-ondes à pleine puissance, qu'on multipliera par l'hypoténuse du carré de la largeur du bloc de glace divisé par sa taille..."
"David Guetta, le décérébré mondain ? Il est artiste maintenant, le trisomique ? Je suppose qu'il est inutile d'espérer un morceau des Clash ici ?
- Des quoi ?
- Bah, laisse tomber. QU'IL ME SOIT PERMIS d'Y PISSER A SA RAIE, A DAVID GUETTA !"
"Vous voulez être ma femme ? Et après on ira boire un café..."
"Joli coup mon cher Michel Boujenah.
- Dis donc toi connard, tu m'appelles encore une fois Boujenah et je te nique ta mère, putain d'enculé de ta race, tu vas bouffer tes morts, fils de pute !
- Inspecteur, y'a quelqu'un pour vous au téléphone !
- Mrf...
- Vous payerez votre note aussi ?
- Ouaih, ta note tu te la fous au cul pis tu te torches avec, allô ?
- Allo, commissaire Enrico ?
- Dis donc, connard, enculé d'antisémite de ta mère, tu vas me parler avec un peu de respect, oui ? Fils de pute d'ancien nazi de bourreau d'enfants, ton père il t'a fini à la pisse et il t'a versé contre un mur, t'es un qu'un gros connard Derrick, je te dis merde ! T'entends ? J'te merde ! (...)Putain, l'enculé, il m'a enervé !"
"Dites-moi, vous pouvez me donner l'heure, s'il vous plait ?
- Oui, 9h01.
- Ah vous êtes précis, vous.
- Oui. Vous voulez niquer avec mon ami et moi ?
- Ben oui, pourquoi pas ?"
"Aime-moi vrai ! Aime-moi tendre !
- Ca veut dire quoi ces conneries ?
- Ca veut dire aime-moi tendre, aime-moi vrai !
- Moi ce que je vois, c'est que dans deux secondes, je vais te botter le cul...
- Bon, écoute, tu peux faire ce que tu veux, mais évite de marcher sur mes chaussures en suédines bleues.
- C'est quoi ça ?
- Ne sois pas cruel. Un pour l'argent, deux pour le spectacle, et trois pour le caillou."
"Où j'ai connu Georges ? C'est une excellente question... A la ferme.
- La ferme ? Quelle ferme ?
- A la ferme ta gueule toi, ducon, espèce de crétin ! Qu'est ce que tu veux, nous prendre la tête là ? Pauv' con ! Oui j'l'ai connu à la ferme, on était des cowboys, on vivait à la ferme, ça a rien d'étonnant.
- Merci, c'est très agréable. Non mais c'est vrai, je me fais engueuler devant des journalistes qu'on connait même pas. C'est classe bravo.
- Oh ça va ? On vous fait pas chier là ? Non c'est sûr, non je rêve. Dites moi, vous avez envoyé une lettre à Jacques il me semble. C'était quoi cette lettre ?
- Et bien c'est lettre, c'est vraiment très simple. J'avais un problème avec Georges, j'ai écrit à mon vieil ami Jacques. Mais si vous le voulez bien, j'vais tout vous racontez depuis le début. Vous savez, j'arrivais d'Italie, de Turin. A l'époque, j'étais supporter de la Juventus..."
"Ok j'arrive, mais arrête de tirer sur oim !
- Mouaih, viens ici... Qu'est ce que tu fous avec les bras en l'air, j't'ai dit d'les lever ? Baisse tes bras ! C'est moi qui les lève.
- Ah non, c'est à moi d'les lever.
- Non, c'est à moi d'les lever, c'est moi qui décide. Et puis d'ailleurs, arrête de faire tout comme moi. Baisse les bras et prend ton flingue au lieu d'être là à m'copier.
- Mon flingue ? Avec plaisir !
- Tout compte fait, j'préfère garder mon flingue, désolé. Et j'vais partir avec mon cheval, vieux !
- Y'a pas de problème, comme tu veux. J'vais juste le préparer pour toi.
- Non j'ai changé d'avis : tu prends le cheval, et tu te casses !
- Ok.
- Putain, j'me suis mal démerdé. Pourtant j'ai pas fait une concession !"
"Oui, on a pensé qu'on devrait expliquer ses dernières paroles.
- 'Monde de Merde'... Vous avez raison.
- Ouaih, on en a chié pour trouver c'te idée. On a été charette.
- L'homme le plus classe du monde meurt, et ses dernières paroles c'est "monde de merde". Pourquoi il a dit ça ? C'est ce que j'veux savoir !
- Merci, c'est pas facile à trouver.
- C'est surement un nom, si c'est une femme, je veux savoir quelle femme. Si c'est un cheval, je veux savoir dans quelle course !
- Nous, on pensait que ça pouvait être un traineau..."
"Pourquoi t'as choisi de faire ce boulot là toi ?
- Ben si j'fais journaliste, c'est évidement pour être célèbre. Moi j'veux être connu, tu sais pourquoi ? Pour niquer les gonzesses. Quand t'es célèbre, tu niques plein de gonzesses. Et puis aussi tu bouffes des trucs bien meilleurs qu'ici.
- Moi pour les gonzesses, je suis super d'accord avec toi. Mais pour la bouffe, je vois pas c'que tu veux dire. T'aurais envie de manger quoi exactement ?
- Ben je sais pas, par exemple, une quiche lorraine.
- Une ouiche.
- Une quoi ?
- On dit une ouiche lorraine.
- T'es sûr ? Ca fait bizarre ouiche lorraine."
"Connasse.
- C'est vous qui m'avez traité de connasse ?
- Mais non.
- Vous savez, c'est pas trés agréable.
- Bonjour, je viens voir un certain Monsieur Hugues.
- Hey, c'est quoi ça ?
- Va te faire foutre !
- Vous dites que j'aille me faire foutre? Ok, j'y vais."